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Votre ancêtre était il membre de la Garde Nationale ou soldat dans les bataillons de Volontaires ?

Le jeudi 31 octobre 2013, par Michel Guironnet

Les événements révolutionnaires parisiens sont à l’origine de la création de la Garde Nationale. En province, cette milice de citoyens fut placée sous l’autorité des municipalités et des districts dès 1790. A titre d’exemple, voici comme cette organisation se met en place dans le département de l’Isère et le district de Vienne.

Introduction

« Aux premiers jours de la Révolution, l’armée comme la nation fut touchée par la fermentation générale. Une sourde agitation s’empare de la masse longtemps muette des soldats ; les bas officiers, pleins d’une amertume trop souvent contenue, se tournent résolument vers le Tiers-État... Dès la période qui précède la convocation des États généraux, les troubles se multiplièrent, et les actes d’insubordination (aussi)... Au début juillet 1789, le conflit devint aigu entre la Cour et l’Assemblée constituante ; le roi massa autour de Paris et de Versailles de nombreux régiments de ligne, principalement des mercenaires étrangers... Mais ce fut la force populaire qui entraîna la victoire. » [1].

Après la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, l’Assemblée impose le même uniforme à tous les gardes nationaux. Ils doivent s’habiller et s’équiper à leurs frais.

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Page extraite de l’édition originale de L’Album du Centenaire : Grands hommes et Grands faits de la Révolutions Française (1789-1804), Paris, Ancienne librairie Furne Combet & Cie, éditeurs, 1889.

Seuls les « citoyens actifs » peuvent être gardes nationaux : c’est-à-dire payant une contribution directe égale à la valeur de trois journées de travail.

« La loi du 29 septembre 1791 organisa définitivement la Garde Nationale. Les « citoyens actifs », domiciliés depuis un an, constituaient cette force armée. Elle devait être organisée par cantons et par districts... Les « citoyens actifs » groupés en compagnies (quatre compagnies par bataillon) éliront au scrutin secret leur capitaine, leur lieutenant et deux sous-lieutenants. Officiers et sous-officiers seront élus pour un an et ne pourront être réélus qu’après avoir été soldats pendant une année... Le décret de l’Assemblée constituante assignait comme tâche essentielle à la Garde Nationale « de rétablir l’ordre et de maintenir l’obéissance aux lois, conformément aux décrets.  » [2].

Élection des états-majors

Le nouveau département de l’Isère est divisé en quatre districts : Grenoble, Vienne, Saint-Marcellin, La Tour-du-Pin [3]. Le district de Vienne compte 21 cantons. Nous prendrons l’exemple du 17e canton ; celui d’Auberives, comprenant les paroisses d’Auberives, Saint-Prim, Cheyssieu, Clonas, St-Alban-du-Rhône Saint-Clair-du-Rhône, Vernioz et Saint-Alban-de-Varèze [4].

Extrait du procès-verbal des « citoyens actifs » composant la Garde Nationale du canton d’Auberives [5] :

« Du dimanche vingt deux juillet mil sept cent quatre vingt douze (22 juillet 1792) l’an quatre de la liberté française, les citoyens actifs composants la Garde Nationale du Canton d’Auberrive se sont assemblés en-suite des ordres du Directoire du District de Vienne pour, aux termes de la loy du quatorze octobre 1791, élire les officiers des compagnies dont l’état et la formation ont été arrêtés par les municipalités d’Auberrive, St Clair, Vergnioz composant le susdit Canton d’Auberrive. »

« Dans la salle ou se tiennent les assemblées de la commune d’Auberrive, ce jourd’huy a six heures du mattin, pardevant nous François Dupuy, maire d’Auberrive, reconnu pour le plus ancien d’âge pour présider laditte assemblée..., assisté de la personne du Sieur Claude Antoine Joseph Ginet, homme de loy, citoyen de Clonas... commissaire pour accellerer la dite opération et nomination... Mr Ginet a observé que le décret du 14 8bre (14 octobre 1791) oblige les citoyens à se réunir par compagnie pour élire, au scrutin individuel et à la pluralité des suffrages, quatre officiers dont un capitaine, un lieutenant et deux sous-lieutenants par compagnie ; et à la pluralité relative deux sergents et quatre caporaux. »

« Il a encore été observé que par la délibération des communes du canton du vingt neuf may dernier, approuvée par le Directoire le deux juillet courant, il avait été fixé que les compagnies seraient composées le plus également :

  • que les parroisses d’Auberrive et Clonas en formeraient une ;
  • les parroisses de Chessieu et Saint Prim une autre ;
  • celle de Saint Clair une autre ;
  • et celle de Vergnioz, Saint Alban de Varaize et Vitrieux, une autre.

Il a invite les citoyens à s’occupper de suite de laditte nomination. Les citoyens assemblée ont élus pour scrutateurs les personnes de sieur Jean-François Pétrequin, citoyen d’Auberrive, Sieur Fleuris Viallet, curé de St Prim et Sieur Jean-François Labbé du lieu d’Auberrive ».

Après l’appel nominal pour chaque compagnie, l’élection des officiers débute, compagnie par compagnie : Auberives et Clonas ; Cheyssieu et St-Prim, St-Alban¬du-Rhône... Vient le tour de la compagnie de la Garde Nationale de Saint-Clair-du-Rhône ; puis celle de Vernioz et St-Alban-de-Varèze.

« De suitte, cette nomination faitte, les mêmes citoyens et compagnies ont procédés à celles des sergents et caporaux au scrutin individuel... ».

Le mercredi matin, c’est la nomination de l’État-Major du canton :

« Du Mercredy vingt cinq juillet l’an mil sept cent quatre vingt douze et le quatriéme de la Liberté... Messieurs les capitaines, lieutenants, sous-lieutenants et sergents des compagnies composant la Garde Nationale du canton d’Auberives se sont assemblés audit lieu et dans la salle de la commune pour procéder à l’élection de l’Etat-Major... »

Noms des officiers et sergents

  • Compagnie d’Auberives et Clonas : « Sieur Claude Cloppet, capitaine ; Sébastien Joly, lieutenant ; Louis Pallandre ,sous-lieutenant et Pierre Dagny de Clonas, sergent ».
  • Compagnie de Saint-Clair : « Capitaine Sieur Pierre Chauvet ; Lieutenant Sieur Joseph Vallin ; Sous-Lieutenants Sr Antoine Chevallier et Etienne Olagnion ; Les Sergents Charles Bargeon et Pierre Brunel. »
  • Compagnie de St-Alban-du-Rhône : « Lieutenant Jean Baptiste Odier ; Sergent Pierre Gerbert.
  • Compagnie de St-Prim et Cheyssieu : « Capitaine Jean Jury ; lieutenant Joseph Cadier ; Sous-lieutenants Jean Traynard et Joseph Dutrievoz ; Sergents Pierre Gayvallet et Pierre Cadier. »
  • Compagnie de Vernioz et St-Alban-de-Varèze : « la personne de Joseph Dutourd Capitaine ; Pierre Joseph Traynard lieutenant ; Jean-Baptiste Hay et Jean-Pierre Rivoire sous-lieutenants ; Benoit Bonnetton, sergent. »

Le Sieur Claude Cloppet, doyen d’âge, est nommé Président. Le commissaire Ginet déclare qu’un demi-bataillon doit être composé de trois à cinq compagnies. La Garde Nationale du canton d’Auberives doit donc former un demi-bataillon. Pour cela, il faut nommer un Commandant en chef, un Commandant en second et un Adjudant.
Pierre Chauvet, Jean Jury et Etienne Olagnon sont scrutateurs.

« Le scrutin ouvert et dépouillé, il s’est trouvé vingt deux billets. Monsieur Louis Boudin, citoyen, résidant à Saint Clair a réuny douze voix, ce qui lui ayant donné la pluralité absolue, il a été proclamé Commandant en chef... »
Jean François Pétrequin est élu Commandant en second (17 bulletins sur 22) ; Jean Tesseyre est élu Adjudant (22 voix sur 22 bulletins).

Ainsi que le note Albert Soboul, « l’élection des officiers et sous-officiers souligne le caractère civique de la garde. Le service, peu important - deux à trois semaines par an, au total - est gratuit : il ne peut être assuré que par des citoyens disposant de loisirs ou par des artisans ou commerçants dont les compagnons ou les commis gardent les boutiques. »

Les volontaires nationaux

Sous la pression des événements révolutionnaires, la Garde Nationale devient une véritable « armée citoyenne ». Après la fuite du roi à Varennes le 21 juin 1791, mais plus encore après la chute de la royauté, le 10 août 1792, l’Assemblée mobilise partout les Gardes nationaux, rejoints par les citoyens « passifs ».

« Au moment même de Varennes, la Constituante ordonna la levée de cent mille hommes qui seraient pris dans la Garde nationale : ces volontaires allaient former le noyau de l’armée nouvelle, et la Garde nationale donner naissance à l’armée nationale. » [6].

Cet élan politique est soutenu par la population : « M. Bouvier, vicaire du village d’Anjou, a fait don d’une somme de 300 livres aux volontaires nationaux qui marchent à la défense des frontières. »

Et le rédacteur des "Affiches Patriotiques du district de Vienne" précise bien « combien ce procédé généreux ne doit il pas faire rougir quelques opulents égoïstes de nos jours ! » [7].

« A la séance des Amis de la Constitution du 17 de ce mois (d’août) Mr Veuillet, curé de Roche, a déposé entre les mains de Mr Pioct, maire, qui remplissait les fonctions de Président, un assignat de 200 livres pour être employé à la solde des gardes nationaux de ce département qui doivent aller défendre nos frontières. Quel exemple ! O. tempora ! O. Mores ! » [8].

On apprend par le journal du 30 novembre que « le bataillon du district de Vienne est formé et doit se rendre à Grenoble. MM. Bonin-Desrives et Guillermin notaire, citoyens de Vienne sont les deux lieutenants-colonels du bataillon ».
Un mois plus tard : « le jour du départ du bataillon est fixé au lundi 5 de ce mois (décembre) »

La grande histoire des Volontaires Nationaux commence avec la déclaration de guerre et la levée en masse. Mais cela fera l’objet d’un autre chapitre.


[1Albert Soboul, « Les Soldats de l’An II »

[2Albert Soboul, op. cit.

[3On lira avec profit « Vienne la Patriote » de Pierre Cavard sur les épisodes de cette création (p. 5-7).

[4voir L221, Archives de l’Isère : « Procès-verbal de démarcation des limites du département de l’Isère », 1790.

[5L.l 180, Archives de l’Isère : Garde Nationale - District de Vienne

[6Albert Soboul, op. cit.

[7N" 14 - du 24 août 1791 Périodique 901 - Archives de l’Isère.

[8N" 16 - du 31 août 1791.

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75 Messages

  • Bonjour, J’écris l’histoire de mes ancêtres pendant la révolution. Je recherche toute information su François Laurent Tostaiin né à Versailles en 1774, marié en 1795 à Valenciennes , a son mariage il était sergent major de la 1re compagnie d’artillerie de Versailles et a eu l’autorisation de se marier par le capitaine commandant. Je n’ai pas son nom. Comment de Versailles est il arrivé à Valenciennes, je le vois bien s’engager dans l’armée ,être à la batailles de Jemappes (sa future épouse habite un village juste à côté) , puis participer au siège de Valenciennes. Mais je n’ai aucune certitude de ce qu’il a fait. Je ne trouve pas d’info sur ce bataillon et sur ce qu’il a fait. 1000 mercis si vous pouvez m’aider. Carole

    Répondre à ce message

  • Bonjour
    je suis à la recherche d un ancêtre qui fut enrôlé dans les volontaires de Paris vers 1783 dans le régiment du duc d Angoulême 6 éme bat 34 eme régiment de ligne

    Répondre à ce message

    • Bonjour,

      1783 dans les Volontaires de Paris ?
      C’est bien avant les Volontaires traités dans mon article.
      Et si vous nous en disiez plus sur cet ancêtre, son nom et la source de cette information par exemple,nous pourrions peut-être vous aider.

      Cordialement.
      Michel Guironnet

      Répondre à ce message

      • Bonjour,

        Merci pour vos superbes documents concernant Michel Pregnon. Ils sont très intéressants.

        Dans « Les volontaires nationaux pendant la Révolution. Historique militaire et états de services des huit premiers bataillons de Paris, levés en 1791 et 1792 » par Chassin, Charles-Louis (1831-1901) et Hennet, Léon (1853-1929).

        Édité entre 1899-1906 par L. Cerf (Paris) dans la « Collection de documents relatifs à l’histoire de Paris pendant la Révolution française »
        Consultable en ligne sur Gallica : ark :/12148/bpt6k5840481v

        on trouve des documents qui confirment et complètent les vôtres :

        page 527
        5e Compagnie « Section des droits de l’Homme ».
        Le 4 septembre 1792, l’an 4e de la Liberté et le 1er de l’Égalité, 114 hommes assemblés, MM. Ganier, commandant en second, de la section armée des Droits-de-l’Homme, et Le Roy, commissaire du comité militaire provisoire, ont procédé de suite à la formation et organisation de la compagnie.
        Après avoir pris leur avis pour la nomination de leurs officiers, sergents et caporaux, les 114 volontaires ont répondu à l’unanimité que, pour ne point perdre de temps, ils les nommeraient à la voix.
        Un commissaire a fait la motion que, si les volontaires le trouvaient bon, ils nommeraient leurs officiers dans les anciens soldats ; sur quoi ils sont tombés d’accord. De suite, il en est résulté qu’ils ont nommé pour leur capitaine M. Michel Pregnon, demeurant rue des Rosiers, n° 9.
        Ce fait, nous Jean Garnier, commandant en second, et Le Roy, commissaire, du comité militaire, avons clos et signé ledit procès-verbal pour servir ce que de raison, ce jour et an comme dessus.
        Pour extrait délivré par les commissaires du comité militaire, ce jour 1er décembre 1792., l’an 1er de la République Française et le 1er de l’Egalité.
        Cugnet, président du Comité militaire. Greffard, secrétaire.

        Sont détaillés également page 546 les états de services des officiers, sous-officiers et soldats :

        Lieutenants-colonels.
        PREGNON (Michel), de Baslieux (Moselle), 26 ans.

        • Grenadier au régiment d’Angoulême, 1783-1789 ;
        • Capitaine au 6e bataillon de Paris, 4 septembre 1792 ;
        • Lieutenant-colonel en second, 23 février 1793 ;
        • Chef du bataillon, 25 mai 1794 ;
        • Blessé à Bouchain, à l’abbaye de l’Aube, à Château-Gontier, et à Caldiéro ;
        • Décoré de la Légion d’Honneur 1804 ;
        • Major du 85e de ligne, 1811 ;
        • Décédé à Coblentz, 11 août 1812.

        Tous ces éléments méritent bien évidemment d’être approfondis.

        Cordialement.
        Michel Guironnet

        Répondre à ce message

  • Je recherche le capitaine BIGOT Maurice, tué le 19091793 à Beaulieu sur Layon 49). Il était né à Foulletourte, Sarthe
    Y a-t-il son nom gravé sur un mémorial ? Merci.
    PN

    Répondre à ce message

  • Bonjour M. Guironnet,
    Je recherche des informations, fiche militaire... concernant MATHOREZ Aimé Pierre François Marie
    né le 16/09/1788 à Condette (62),
    décédé le 16/09/1812 à Hambourg (Allemagne).
    Il était corporal à la 54e cohorte de la 3e compagnie de la garde nationale.
    J’ai recherché sur le matricule napoléonien sur Geneanet mais je ne trouve pas.
    De quel régiment dépend la 54e cohorte de la 3e compagnie de la garde nationale ?
    Avez-vous des pistes à me conseiller ?
    D’avance merci.
    Bonne journée
    Cordialement
    Jean-Paul

    Répondre à ce message

    • Bonjour,

      Une ou deux questions tout d’abord : quelles sont vos sources pour vos informations concernant Aimé Mathorez ?
      Avez-vous la transcription de son décès, et éventuellement ses causes, à Hambourg en 1812 ?
      Ensuite, la première démarche à faire est d’expliquer votre recherche aux archives du Pas de Calais.
      Elles pourront beaucoup mieux vous orienter que toute investigation faite sur Internet.

      La recherche des soldats de cette époque est complexe et difficile...mais je suis sûr que vous allez trouver !

      Bon courage.
      Michel Guironnet

      Répondre à ce message

      • Bonjour Michel,
        Merci pour votre réponse.
        Le point de départ de cette recherche est l’inscription sur une pierre tombale dans le cimetière de Condette.
        "Aimé Pierre François Marie MATHOREZ Mort sous les drapeaux et inhumé à Hambourg en 1813 à l’âge de 25 ans"
        La transcription de son acte de décès indique "décédé à l’hôpital sédentaire de Hambourg le 5 décembre 1812".
        Je vais suivre votre conseil et contacter les archives départementales du Pas de Calais.
        Bonne continuation
        Cordialement
        Jean-Paul

        Répondre à ce message

  • JAMIN Antoine (1799-1867) 5 août 2022 12:05, par LECHEVREL MC

    Bonjour. Mon ancêtre (enfant abandonné à Paris à l’hôpital du faubourg St Antoine) "aurait été enrôlé" très jeune comme tambour sous Napoléon 1er à Paris. Un tableau, peint en 1839, le représente en garde national et tambour major à Tonnay-Charente (17) avec "la médaille de Ste Hélène". Je crains que cette histoire ne soit pas forcément très exacte, merci pour votre aide.

    Répondre à ce message

  • Bonjour, un de mes ancêtres Jean BOUQUET de Rioux 17, aurait été lieutenant de la garde nationale de Rioux en Saintonge. Comment je peux vérifier ces informations ? merci Cordialement

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    vos connaissances et votre aide vont, j’espère, permettre d’éclaircir un point de ma généalogie.

    Sur l’acte de naissance daté du 23 octobre 1794 (Archives 18 : Commune de Farges-en-Septaine, 2 Brumaire An III, page 132)de Vincent JOVY (l’un de mes ancêtres directs), il est mentionné que :

    • la déclaration est faite par sa grand-mère avec plusieurs témoins ;
    • Jeanne JOVY (sa mère) est non-mariée ;
    • le père serait Sylvain LAROCHE, lui aussi non-marié,et qu’au moment de la naissance de Vincent il est "Volontaire pour la Nation".

    Avant la naissance de Vincent (qui va porter le nom de sa mère), Jeanne JOVY et Sylvain LAROCHE travaillaient chez le même employeur dans une commune voisine (Crosses dans le département du Cher).

    Tout cela laisse à penser que Sylvain LAROCHE est le père de Vincent JOVY (donc un de mes ancêtres !) mais qu’il n’a pas pu reconnaître son fils n’étant pas présent lors de la naissance et, peut-être, qu’il ne serait jamais revenu auprès de la mère et de l’enfant (décès ?).

    Où pourrais-je trouver des renseignements militaires et/ou civils (?) concernant ce "Volontaire pour la Nation" afin de clarifier ce point de "mon arbre" ?

    Merci infiniment par avance de vos conseils.
    Bien à vous.
    Jean-Michel Vrinat

    Répondre à ce message

    • Bonjour,

      Tout d’abord une question : avez vous l’âge ou la date de baptême de Sylvain Laroche ?

      La première recherche à faire est de consulter dans la série L (période révolutionnaire) aux archives du Cher les enrôlements dans la Garde Nationale et ceux des volontaires de l’An II dans le canton ou le district dont dépend Farges en Septaine.

      Ne pas hésiter à fouiller également dans cette série tout ce qui concerne les soldats durant cette période : équipement des soldats, malades ou blessés, déserteurs...et autres !

      Recherchez également dans la série R (affaires militaires) si des cotes concernent cette période.

      Cela vous oblige à consulter ces documents sur place mais cette recherche en vaut la peine !

      Tenez moi au courant de vos découvertes.

      Cordialement.
      Michel Guironnet

      Répondre à ce message

  • Bonjour
    je cherche un de mes ancêtres, Maguin, III bataillon des volontaires du Jura. Il est né en 1769, apparemment. Je souhaite trouver son prénom et la commune d’où il est natif. Comment puis-je accéder à cette information ?
    Vous remerciant,
    cordialement
    Isabelle Wandersleben

    Répondre à ce message

  • Mon arrière grand père figure sur l’affiche du comité central de la garde nationale de paris le 4/3/1871, j’aimerais plus de renseignements sur lui, ses prénoms, son age en 1871,son métier, a t-il été fusillé ou autre merci. nom de mon grand père Fleury

    Répondre à ce message

  • bonjour je recherche un ancetre qui était dans le 6 bataillon des volontaires de paris jusqu en 1789 dénommé michel pregnon

    Répondre à ce message

  • Bonjour ,
    Effectuant mon arbre genealogique je trouve un aiëul, Gaudillat Benoit né le 19/01/1768 à Pierre de Bresse (71) fils de Gaudillat Pierre et de Génieux Marie , Benoit c’est marié le 01/02/1790 avec Jeanne Salut à Montret (71). Sur l’acte de mariage il a pour métier ’domestique ’ .
    Hors sur l’acte de naissance de son 1 er fils né le 08 mars 1790 ,Benoit est déclaré comme manoeuvre puis pour son deuxième enfant sur l’acte de naissance en 1795 Benoit est déclaré comme engagé volontaire pour la République , ce deuxième enfant décède 15 jours après et sur l’acte on peut lire que Benoit soldat de la Rébublique ,en 1798 sa femme Jeanne Salut a un troisième enfant mais là Benoit est reconnu comme absent depuis 6 ans . 😗 ..Ma question est puis je espérer retrouver une trace de Benoit Gaudillat en tant que soldat , ou c’est il engagé ?et retrouver son lieu de décès.Vous remerciant par avance pour vos conseils et votre aide. Bien cordialement.Christianee

    Répondre à ce message

  • Si j’en crois l’acte du premier mariage d’un de mes aïeux (Médard DUVAL), il était volontaire au 3e bataillon du Loir-et-Cher ; l’acte cite un autre engagé (Etienne MARIETTE) ; voici la transcription de cet acte :
    "Aujourd’hui vingt-neuf vendémiaire de l’an trois de la République française une et indivisible, devant moi Nicolas Le Gendre, membre du Conseil Général et officier public de Quimper, ont comparu en la maison commune pour contracter mariage,
    d’une part Médard Duval fils de défunt Médard Duval et Marguerite Pacot, âgé de vingt-six ans, originaire de la commune de Blois district de Loir et Cher, département du même nom, canonnier du troisième Bataillon de loir-et-cher d’une part
    et d’autre part Françoise Péron fille de défunt Maurice Péron et de Anne Janbon âgée de trente un ans originaire de la commune de Guiscriff district du Faouet département du Morbihan, domiciliée en cette commune accompagnée de Etienne Mariette Canonnier au même bataillon âgé de vingt-sept ans, de Marie Perrine Le Tallec âgée de trente ans, de Louise Le Feunteun, épouse de Joseph Nicolas Le Pan, âgée de trente trois ans, tous domiciliés de cette commune. En présence desquels témoins et parties contractantes lecture faite des promesses de mariage en date du vingt quatre de ce mois publié et affiché y jusque le jour sans opposition, du certificat d’administration en date du vingt un de ce mois signé Compte Capitaine et autres qui constate que le citoyen Médard Duval n’a contracté aucun engagement de ma ? qui soit à sa connaissance après que les contractants ont eu déclaré se prendre mutuellement en mariage, j’ai prononcé au nom de la Loi que Médard Duval et Françoise Perron sont unis en mariage et j’ai dit dans le présent acte que Joseph Nicolas Pan seul avec moi, les autres ayant déclaré ne le savoir signé
    Deux mots raturés nuls
    signé Joseph Nicolas Pan, N. Le Gendre"

    Répondre à ce message

  • Bonjour
    Je n’ai que peut de renseignements sur cet ancêtre, à part son acte de décès. Il s’appelait Pierre LAMIRAL, natif de Favières.
    Sur cet acte, il est précisé qu’il est décédé à l’hôpital militaire de Strasbourg le 7 janvier 1814. à l’âge de 21 ans.
    Il était Fusilier de la cohorte de la Meurthe, 2e compagnie. Il habitait Favières, département de la Meurthe (devenu Meurthe et Moselle) Ce sont les seuls indications qui me sont connus. Je ne sais pas s’il faisait partie des gardes nationaux ou combattants volontaires et comment rechercher. Qu’est-ce qu’une cohorte ? Qu’elles étaient les tâches de ces soldats ? Merci pour votre réponse.
    Cordialement
    Josette

    Répondre à ce message

  • j’ai mon ancêtre qui a décédé à l’hôpital militaire de Strasbourg le jour de ses 22 ans.
    L’Infirmier major de cet Hôpital a indiqué "Fusilier de la Cohorte de la Meurthe, 2e compagnie"
    Fait-il partie de la Garde Nationale ? J’ai du mal à me retrouver dans tous les régiments car je ne trouve pas ce régiment "cohorte de la Meurthe"

    Merci pour votre réponse

    Répondre à ce message

  • bonsoir mon ancêtre Pierre Plaettner était caporal canonnier au cinquième régiment du Rhin en 1794 peut être natif de la Petite pierre 67290 Bas-Rhin existe t’il des carnets militaire ou matricule a cette époque je ne trouve pas son acte de naissance ni de décès peut être sur des papier militaire merci d’avancé
    Pavatravick

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Mon ancêtre Jacques Philippe Quoirat (ou Quoiraz, ou Coirat) était-il officier au 5e bataillon de l’Isère, comme je l’ai vu écrit ?
    Il s’est marié le 25 juin 1793 à l’Hôpital (Albertville) avec Marie Thérèse Anselme. Seule information fiable.
    Il serait né à Saint Alban en Isère (A vérifier)
    Il serait fils d’Etienne Quoirat & Anne Jacquier. (A vérifier)
    Merci par avancée votre réponse.
    Michèle Moreau

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Un de mes aïeux était Soldat de la Garde à Paris. Son nom : Marchal Jean Nicolas, né en 1822, décédé en 1873, époux de Bour Madeleine.
    Comment pourrais-je trouver plus de renseignements le concernant ?
    Bien à vous.
    G. Batout.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Je recherche le parcours d’un garde républicain au peloton mobile 131 en garnison à Nogent sur Marne en 1932 lors de son mariage à EU (Seine Maritime)
    PAGHENT Gaston Paul Alfred né le 21 septembre 1903 à Fruges et inhumé à Eu en 1977.

    dans l’attente de vous lire, je vous prie d’agréer mes salutations distinguées.

    Répondre à ce message

  • bonjour
    je sais que mon ancêtre a fait parti des vainqueurs de la bastille , je l’ai retrouvé en faisant mon arbre généalogique

    j’ai trouvé le détail de sa carte de sureté .

    comment retracer son parcourt ?

    je connais son adresse a paris ,

    je suis très désireuse de le retrouver ,

    pouvez vous me dire si une copie des cartes de sureté est conservé aux archive , car j’ai le numéro du carton et la côte du document mais sur le site des archives de Paris on ne peux pas entrer de côte ou alors je n’ai pas su ...

    cordialement

    Répondre à ce message

  • Gaspard Mossan, capitaine des compagnies nationales, Alixan, Drome en janvier 1790
    (sur acte de baptême de sa fille au 4/01/1790, paroisse Alixan 1765 1791)

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    mon aïeul Anselme GUYOT né en 1739 à Dampierre (52), est mentionné dans l’acte de mariage de l’un de ses fils "Soldat volontaire aux Armées de la République" en 1799 (il a alors 60 ans) ; je n’ai jamais retrouvé son décès puisque certainement mort sur les champs de bataille. Pouvez-vous me donner une piste ?
    Avec mes remerciements,
    Thierry GUYOT

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  • Bonjour,

    Ci-après éléments extraits d’un parchemin familial de : "Brevet de volontaire dans la Garde Nationale " au nom de :

    ROCHER Alexandre, Jean, jules, né en 1755.

    Ancêtre probable qui a servi à partir du 13/07/1789 au bataillon des Filles Saint Thomas à Paris.
    Enrôle volontaire le 01/09/1789 dans la 2éme compagnie dudit bataillon.
    Retiré le 28/07/1790.

    Un document de 1785 de mise sous tutelle d’une enfant mineure, qui est en ligne sur Généanet, indique qu’il est un bel oncle maternel et à le métier d’avocat. Son acte de décès (le 23/07/1807, Paris 11) reconstitué aux archives Nationales indique aussi que l’inventaire a été réaliser dans les minutes et répertoires par un notaire parisien, Me Jean_Baptiste DECOURCHANT. Sa profession était alors : "Chef de la comptabilité de la régie des poids"
    Là, problème je ne sais pas comment accéder au archives du notaire, et en l’absence d’acte de mariage que je ne trouve pas non plus, j’ai besoin d’aide pour savoir s’il y avait des héritiers. Je pourrai peut-être ainsi expliquer la possession de cette archive dans ma famille

    Merci par avance de l’attention que vous m’accorderez et de l’aide éventuelle ; Je reste bien entendu à votre écoute.

    Bernard Ramette

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  • Je suis à la recherche de François BODIN
    Lieutenant de réserve, dans la garde nationale des Deux Sèvres à Niort le 22 mai 1809
    Merci beaucoup de m’aider dans cette recherche
    Cordialement

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  • Mon ancêtre Louis Daniel Bouquet du Colombier né à Villefagnan (16) le 09/03/1769 ( DCD à Seigné (17) en 1848 ) aurait été selon toute vraisemblance, Capitaine de la Garde nationale ( en Charente ou ailleurs ?) en 1790. Comment pourrais-je avoir confirmation et obtenir ses états de service ?
    Merci pour toutes informations et pistes de recherches. R.G à Istres (13)

    Répondre à ce message

    • Bonsoir,

      Pour en avoir confirmation, je crois qu’il sera inévitable de vous déplacer.Mais comme Istres est à l’autre bout de la France, commencez par faire une recherche de cotes dans la série R affaires militaires et la série L époque révolutionnaire des archives de la Charente en consultant les inventaires en libre accès, en général, dans tous les dépôts d’archives départementales.
      Puis en écrivant aux archives de la Charente, vous pourrez leur demander si ces cotes sont susceptibles de renfermer des informations sur votre ancêtre. Si la réponse est positive, le déplacement sera bien profitable.

      Bon courage. Cordialement.
      Michel Guironnet

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  • Je viens de trouver la trace d’un ancêtre qui était au 5e bataillon des volontaires de la Haute Saône, bien que natif de Charente, il y est entré le 01/09/1793.
    Je sais que ce Bataillon a été réorganisé en février 1794 et a ensuite fait parie de l’Armée du Rhin puis de celle de Rhin et Moselle au sein de la 92e demi brigade de bataille et ceci jusqu’en 1796.
    A cette date, nouvelle réorganisation pour formation de la 44e demi brigade d’infanterie de ligne.
    Le seul élément certain dont je dispose réside dans le fait que cet ancêtre a été blessé à Remus (aujourd’hui Ramosch, canton des grisons-Suisse) le 25 Ventôse de l’an VII.
    Ma question réside en celle-ci où puis-je d’après vous m’adresser pour essayer d’approfondir le parcours de ce soldat de l’an II avec ces unités précédemment citées ?
    Cordialement

    Répondre à ce message

    • Bonjour,

      Votre question est intéressante...et en entraine d’autres !
      Comment avez-vous fait cette découverte ? Comment s’appelle votre ancêtre né en Charente ? Avez-vous cherché dans les registres de la garde impériale et de l’infanterie de ligne disponibles sur Mémoire des Hommes ?
      Il se peut que votre ancêtre ait continué d’être soldat sous l’Empire ?
      Pour toutes ces recherches, c’est vers les archives départementales qu’il faut vous tourner.

      Cordialement.
      Michel Guironnet

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      • Je vous remercie pour cette réponse des plus rapide, j’ai fais cette découverte en effectuant mon arbre généalogique où il était fait mention par deux fois de son état d’ancien militaire pensionné dans son acte de mariage le 27/08/1806 puis d’ans l’acte de naissance de sa fille (arrière grand mère maternelle de mon arrière grand père maternel) le 04/07/1809. Je me suis donc ensuite rendu à Vincennes où fort de son état-civil, il m’a été possible de connaître la cote de son dossier de pension. C’est dans celui-ci que j’ai déniché les informations dont je vous ai fait part dans mon précédent mail, je sais également qu’il a été rayé des contrôles le 25/07/1801, mais fusilier de son état et ayant perdu l’entier usage de l’annulaire et auriculaire de la main droite (cause de sa réforme), il n’à pas du participer aux engagements qui ont suivi cette blessure.
        Je ne peux malheureusement pas avoir plus de précisions sur "Mémoire des hommes" du fait que la plupart des registres-matricules auxquels on a accès en ligne ne commencent qu’en 1804 pour la plupart.
        J’avais cependant fais une bonne pioche avec l’aide de ceux-ci pour un autre ancêtre qui était conscrit de 1812 et avait participé à la campagne d’Espagne, javais retrouvé celui-ci par le même mode opératoire, il était fait mention de sa qualité d’ancien militaire sur son acte de mariage, et j’ai retrouvé sa trace sur "les médaillés de Sainte-Hélène" du fait qu’il avait reçu celle-ci en 1857 et n’est décédé qu’en 1870. Le volontaire de la Haute-Saône n’a malheureusement pas eu ce privilège puisque bien qu’endurant pour son époque, il s’est éteint en 1853 mais était né tant qu’à lui en 1769.
        Cordialement
        Laurent

        Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Je recherche un de mes ancêtres François-Mathurin CIERQ
    charretier à l’armée du Nord qui serait décédé à AUXERRE ENTRE 1800 ET 1815.

    MERCI DE VOTRE AIDE

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  • Mon ancêtre par alliance Jean Philippe Marie Morel ou Morellarin, sous officier de l’armée Boulonnais recruteur.

    Accusateur du Marquis de Favras récompensé par l’Assemblée Constituante et le général Lafayette pour cette dénonciation (apurement de ses dettes 8000 livres prime de 25000 livres et poste dans la garde républicaine du marquis de la Fayette)

    Je le retrouve grâce à un livre de souvenirs familial dans le Jura agriculteur du Domaine de Romange, maire de cette commune et colonel de la garde nationale de Dole en 1791.

    D’où venait-il ?
    je ne trouve rien dans les archives militaires qui pourraient m’indiquer ses origines

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  • Je cherche la naissance (certainement dans le Jura vers 1741) de Jean Philippe Marie Morel (dénonciateur du Marquis de Favras pendu en 1790) qui reçu de l’assemblée nationale 8000 livres pour éponger ses dette et 24000 pour sa délation.

    Bas officier Boulonnais recruteur, La Fayette lui offrit une place dans la garde nationale de Paris, il devint Colonel dans la garde nationale de Dole.

    S’installa à Romange Jura comme fermier et y mourut en 1807.

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  • ZEDET BASTILLE 1er avril 2017 13:09, par BONZOM MIREILLE

    Qui aurait plus d’infos sur le ? soldat Zédet parmi les rares
    gardes parmi la foule de civils qui se dirigea sur La BASTILLE 14.7.1789 ??

    C’est un patronyme rare ... Notre famille DOUBS et Haute Saône retrouvée dans un rapport médical 1840 sur "la variole à Besançon" avant leur départ et un Brevet invention de presse à foin 1868 en Algérie

    Merci de m’éclairer plus
    M.Bonzom

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  • Bonjour
    je recherche la trace de Danillon Jean-Baptiste, ne à Solliès, 17 ans, volontaire dans une compagnie franche, acquitté le 2 Germinal an II (22 mars 1794)par le tribunal révolutionnaire de Grasse.
    Je crois qu’il fut aussi matelot à bord du Mont Blanc, vaisseau présent à la bataille de Trafalgar et capturé à la bataille du cap Ortega le 4 novembre 1805

    Jean Baptiste fils d’Ezéard avait en effet 17 ans en 1791 (né le 7 novembre 1774).
    Merci de me répondre.
    Bien cordialement

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  • Jean-Baptiste Hollande membre de la garde nationale et médaillé lors de la prise de la Bastille.
    je recherche la preuve de cette participation et de cette médaille.

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  • Bonjour.

    Je viens de découvrir qu’un de mes ancêtres qui est décédé le 08/02/1814 à Orléans était Garde National, c’est indiqué dans son acte de décès.
    Il s’agit de Pierre BODIN.
    Il était du Loir et Cher et je m’étonnais de le retrouver dans le Loiret.
    Pouvez-vous, au moins, me donner un axe pour mes recherches car ces nouvelles données m’intéressent énormément.
    Merci.

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  • bonjour
    mon ancêtre Pelegrin guillaume était soldat de la Garde Nationale
    engagé volontaire dans la 1re compagnie en 1790 à Martres et mort pour la France le 2 décembre 1792.

    est ce que je peux retrouver son matricule ou accéder à son dossier militaire ?

    croyez vous que c possible ? si oui comment ?
    un grand merci
    sylvie druzinec

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  • Mon ancêtre Louis Daniel Bouquet du Colombier natif de Villefagnan (16) (1769-1848) a été, parait-il, capitaine de la Garde Nationale en 1790, sans doute en Charente ?
    Qui pourrait m’apporter quelques informations le concernant ? Merci.

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  • Bonjour,

    Je recherche si possible le plus de renseignements concernant mon aieul Jean Baptiste SPIQUE (SPIC) né le 1er mai 1769 à Coincy (aisne)et décédé vers le 23 mai 1794. Il était lieutenant au XVe bataillon d’infanterie légère à Pont-à-Mousson (Meurthe et Moselle). Il serait mort le jour où son épouse accouchait d’une fille.
    Cela fait des années que je cherche en vain.
    Pouvez-vous m’aider.
    Merci et cordialement.
    E. Poivre Didelot

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  • Claude Philibert TRINQUET faisait parti du 212e bataillon de la garde nationale à Paris en 1871.

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  • Charles Thomas BOECKH sous lieutenant de la garde nationale de Strasbourg nommé le 10/7/1831
    et un autre document me donne
    Charles BECK élu Lieutenant de la garde nationale de Strasbourg le 20/11/1831
    ma question est pourquoi deux orthographes du nom
    cette personne est le père de mon arriéré grand mère

    Répondre à ce message

  • bonjour
    j’ai un ancêtre (Pierre François Amand Bazin) qui était chirurgien au 4 ème bataillon de la garde nationale de Paris en 1834, existe t’il des archives le concernant et si oui qu’est-il possible d’y trouver ?
    Merci
    Jérôme

    Répondre à ce message

  • Mon ancêtre Jacques René Barreau décédé le 23 Octobre 1793 connu sous le nom de Joseph Bareau, caporal dans la légion germanique des Ardennes de présent en Vendée". Je cherche des information sur lui, Lieu et date de naissance ainsi que le lieu de son décès. Si quelqu’un peut m’apporter des éléments nécessaires pour ma recherche. Merci à tous et bonne recherche

    Répondre à ce message

  • Ancêtre garde nationale à Strasbourg comme officier 13 février 2015 17:00, par REGNIER Philippe

    J’ai deux documents
    L’un du dix juillet 1831 au nom de Mr BOECKH Charles Thomas élu au grade de sous lieutenant 3e compagnie 4e Bataillon

    l’autre document daté du 20 novembre 1831 au nom de Mr BECK Charles élu au grade de Lieutenant toujours 3e compagnie 4éme bataillon

    je recherche un complément d’information celui ci étant le Père de mon arrière arriéré grand mère

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  • Mon ancêtre était membre de la Garde Nationale 13 avril 2014 10:13, par Véronique DENIS

    Bonjour, j’aimerais que quelqu’un m’aide et me dise comment je dois procéder et où m’adresser pour en savoir plus sur mon ancêtre Henri Jacqmin qui fut engagé dans la 71e cohorte de la garde nationale avec le matricule 216 vers 1812. Il est né à Braine-l’Alleud en Belgique et y est décédé après avoir reçu la Médaille de Sainte-Hélène en 1858.
    Merci pour les renseignements

    Répondre à ce message

    • Mon ancêtre était membre de la Garde Nationale 13 avril 2014 10:46, par Michel Guironnet

      Bonjour,

      Votre question est tout, sauf simple : l’organisation des troupes napoléoniennes est compliquée.

      Je vous conseille de charger et de bien lire le guide de recherches disponible sur http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/contenu/functions/dc/attached/FRSHD_PUB_00000013_dc/FRSHD_PUB_00000013_dc_att-FRSHD_PUB_00000013.pdf

      Il devrait vous éclairer sur les différentes cohortes de la Garde nationale qui ont constitué les régiments de ligne.

      Ensuite, sur le site "Mémoire des Hommes" dans l’onglet "parcours individuels" vous pouvez faire une recherche.

      Bon courage.
      Michel Guironnet

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      • Mon ancêtre était membre de la Garde Nationale 13 avril 2014 11:10, par Véronique DENIS

        Je vous remercie pour votre réponse. Vous avez raison, autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! Je n’ai pas assez d’éléments pour le retrouver avec les moteurs de recherches repris sur les sites proposés (déjà que je ne sais pas faire la différence entre une cote, une arme, un type d’unité et une unité !). Impossible donc pour moi, pauvre femme inculte du vocabulaire des armées, de pouvoir avancer... Il y a tellement de possibilités.. Le fait de ne connaître que le numéro de la cohorte et son matricule ne suffit pas.... Je vais essayer de rencontrer des généalogistes passionnés par cette époque et rompus à ce genre de recherches pour pouvoir avancer... Merci en tout cas, me voilà mieux éclairée !

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        • Mon ancêtre était membre de la Garde Nationale 13 avril 2014 12:09, par Michel Guironnet

          Re,

          Avez-vous cherché dans la presse locale ?
          Lors de la remise de la Médaille de Sainte-Hélène, j’ai trouvé -pour des soldats de l’Isère entre autres - des articles relatant succintement les campagnes de ces grognards de l’Empire.

          Cordialement.
          Michel Guironnet

          Répondre à ce message

  • Bonjour
    Je ne comprends pas la naissance de Nicolas LEJEUNE à
    Coevorden république Batave , de Nicolas LEJEUNE mort en 1800 à Marengo et de FOURNET Marie Josephine probablement cantinière si elle suivait l’ armée du Nord .
    LEJEUNE Nicolas père serait-il inscrit sur un de ces registres
    Merci

    Répondre à ce message

  • Où dois je m’adresser pour trouver la liste des volontaires de l’An II du département du Tarn ?

    merci

    Cordialement

    O.H.

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  • Bonjour,

    Mon ancètre Jean-Baptiste HOLLANDE fait parti des vainqueurs de La Bastille qui a été médaillé par la Constituante.
    Il était membre de la garde Nationale en 1789.
    Il était originaire de Englefontaine (59) et était cordonnier.
    je n’ai pas reconstitué son parcourt qui me dirait probablement comment il s’est retrouvé à Paris à cette époque.
    Avez-vous une piste ?
    Amicalement.

    Répondre à ce message

  • Votre article, très bien détaillé, relance ma quête pour obtenir des éléments sur mon aïeul, Jean-Baptiste DUPUIS, canonnier volontaire au 19e bataillon du régiment du Pont Neuf vers 1792-93. J’ai effectué des recherches au SHD de Vincennes. Bien qu’ayant consulté le registre concerné, je n’ai rien obtenu. Auriez vous une piste pour retrouver des éléments le concernant ? Si vous le souhaitez, je peux vous transmettre l’acte mentionnant cette information.
    A votre disposition.
    Cordialement
    Ludovic

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  • VMembre de la Garde Nationale Membre de la Garde Nationale 9 novembre 2013 11:07, par Cormont Jean-Pierre

    Sur l’acte de mariage de Charles François Cormont en date du 24 octobre 1839, Rumaucourt,Oise,il est mentionné sous serment que le lieu de décès de son père Jean Antoine Cormont né le 17 janvier 1779, Graincourt les Havrincourt,Pas de Calais lui était inconnu,qu’il était parti en 1813 pour Garde Nationnale at que malgrés tout les écrits et recherches, n’a jamais reçu de nouvelles.Je cherche,pour ma généalogie,ou il était enrolé.
    Cordialement.

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  • Bonsoir,

    Mon ancêtre JOUSSEAUME Martial de CASTILLONNES était lieutenant de la 4e Compagnie des volontaires nationaux du second bataillon du LOT ET GARONNE. Il est décédé à BLOIS le 29/09/1792 ( sur son acte de décès il est mentionné vu à la réquisition de Mr François Nicolas BELLOME Juge de paix et officier de la police de sureté de la ville de BLOIS). J’ai contacté les AD 41 il mais pas de trace de documents . Après plusieurs recherches AD 47 (une liste d’engagés), Ministère des armées pas de documents.Un simple testament ne révélant pas grand chose.

    Je recherche toutes informations sur ce second Bataillon du LOT ET GARONNE

    Mireille

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  • Bonjour,

    Lors de son mariage le 28 floréal an 2 (17 mai 1794) avec Marie PLANTADY à Aubusson (Creuse) mon ancêtre Michel JAUDOIN est "grenadier au premier bataillon de Paris", fils de défunt Pierre JAUDOIN et Louise MALIE.
    Il déclare la naissance de son fils aîné en 1795 mais il est dit "absent de ce département" sur l’acte de naissance de son second fils le 5 septembre 1799.
    Sur les actes de mariage de ses deux fils (en 1816 et 1818) il est indiqué qu’il est décédé "on ne sait où ni quand".
    Comment retrouver sa trace et surtout son décès ?

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    • Bonjour,

      Vaste question !

      Commencez par une recherche aux archives de la Creuse dans la série R affaires militaires.
      Vous avez aussi la "table des décès successions et absences"
      Comme expliqué : "Les successions et absences sont une des sources utilisées par la généalogie pour compléter les indications données par l’état civil. Il s’agit d’un registre de l’administration fiscale destiné à enregistrer les droits de mutations pesant sur les héritages. Il garde la trace des décès survenus dans la commune, qu’ils aient fait l’objet d’une succession ou qu’ils soient restés vacants (« absences »). Ils ont été établis en 1791 et sont publiés jusqu’à l’après-seconde guerre mondiale. D’autres tables peuvent également vous aider dans vos recherches de propriétés (acquéreurs) ou servir d’entrées dans les fonds notariés (testaments, inventaires après décès, donations)"

      Aurait il fait des actes chez un notaire ? Cherchez aussi de ce côté...

      Bon courage.
      Michel Guironnet

      Répondre à ce message

  • Bonjour M. Guironnet
    Il s’agit de Johann (Jean) KAISERGRUBER, né vers 1762 à Vienne (Autriche).
    Il était officier dans les armées de sa majesté l’empereur d’Autriche (statut mentionné dans l’acte de naissance de son fils Jean François le 22 pluviose XIII).
    Il est marié à Maria Josepha Francisca Tuijttens.
    Tandis que son acte de décès du 11 mars 1809 délivré par la commune de Harelbeke (Belgique) mentionne grenadier de la garde nationale de l’Escaut.

    Je suis d’accord de vous envoyer un scan des actes en question, mais ils ne sont pas très lisibles. Néanmoins, je vous les ferai parvenir avec plaisir. Par contre, je ne connais pas votre bal perso, ni votre mail perso.

    cordialement.

    Marie-Paule Kaisergruber

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  • Cet article est très intéressant. J’aimerais en savoir plus sur mon ancêtre belge, Henri Jacqmin, matricule 216, 71e cohorte de la garde nationale.... Il revint à 20 ans de l’effroyable campagne de Russie en 1812 et se maria à Braine-l’Alleud à son retour, la commune où il naquit le 17/08/1792 et mourut le 12/02/1872. Il vit la défaite de Napoléon sur son territoire en 1815.... (Le Lion dit de Waterloo est brainois, et peu de gens le savent.... Il obtint la médaille de Ste-Hélène en 1858. Qu’est-ce qu’une cohorte ? Qu’elles étaient les tâches de ces membres de la garde nationale ? Qui peut me dire si il existe des archives pour les gens du nord ?

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  • bonjour,
    Mon ancêtre était grenadier de la garde nationale du département de l’Escaut. Né en Autriche vers 1762, décédé en 1809 en Belgique, à Harelbeke. J’ignore le lieu et la date de son mariage. C’est sur son acte de décès que figure la mention de grenadier de la garde nationale. Je n’ai pas d’autre renseignement à son sujet.
    Pouvez-vous m’indiquer dans quelle direction chercher afin d’obtenir davantage d’infos sur ce personnage ?
    Merci d’avance.
    Marie-Paule

    Répondre à ce message

  • bonjour
    pouvez vous me dire où trouver les Registres d’Enrôlement départementaux (si j’ai bien compris)
    l’un de mes ancêtres, Louis Claude Auget est porté disparu de son village, Dallon (02) à partir d’octobre 1789. Il était maître maréchal vétérinaire diplômé de l’école de Maisons Alfort, et si j’en juge par ses extraits de notes, un peu "tête brûlée". J’ai toujours pensé qu’il s’était enrôlé quelque part après avoir appris que Paris faisait sa révolution.Il ne réapparait plus dans son département par la suite.
    Bonne journée à tous
    Claudine

    Répondre à ce message

  • Très intéressant, bien détaillé et utile éventuellement pour faire une recherche si toutefois l’ancêtre concerné a été un de ceux énumérés. C’est une piste à laquelle au départ on ne pense pas toujours.

    Merci pour ce cours d’histoire pratique.

    Répondre à ce message

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