Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 13 mars.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
J’étais revenu faire des photographies au carré militaire du cimetière de Créteil pour illustrer mon dernier article récemment paru dans la Gazette. Ma stratégie d’auto-traitement psychothérapique avait certainement été très efficace puisque, lors de cette troisième visite, je n’ai pas vraiment éprouvé d’angoisse à être présent en ce site où j’avais été par deux fois grandement traumatisé. C’est donc presque sereinement que j’arpentais le lieu ; j’ai commencé par scruter les deux façades de l’imposant monument aux morts inauguré en 1922...
Ce jour était férié, mais ce ne fut pas un jour de congé pour moi car ma classe avait été désignée pour rendre Le devoir de mémoire aux poilus de 14-18 devant le monument aux morts de Créteil. L’annonce nous avait été faite la veille par notre vénéré instituteur Monsieur Louis Allezard. Il n’avait guère été disert, mais nous avions bien senti que pour lui, vieux hussard noir de la République, la chose était de la plus haute importance et qu’il considérait que la mission qu’il nous confiait était d’importance.
En cherchant des informations sur un Franc-Comtois de ma belle-famille nommé François Félicien Vernier, j’ai trouvé ce fait divers qui donne quelques informations sur sa vie quotidienne.
Quiconque a exploré les registres paroissiaux ou d’état civil a hélas noté les nombreux enfants « né de père inconnu » ou « né de père non dénommé » voire sans aucune notion de père comme on le trouve fréquemment dans les anciens registres paroissiaux. La mère « génitrice » était, elle, toujours identifiée.
On aime trouver dans les archives des actes inhabituels qui nous montrent souvent nos ancêtres ou collatéraux sous un jour bien plus humain. Claude-Hugues du CHOULLE de la PELLETIERE offre, en une seule personne, trois bizarreries que je n’ai jamais rencontrées ailleurs : Un mariage clandestin, un baptême très tardif et la perte de son prénom…
J’ai rencontré, dans la généalogie d’un cousin du 2e au 3e degré, (Marie) Joséphine par son mariage en 1870 à Saint-Donat-sur-l’Herbasse (26) avec Gonzalve Henry Louis Tancrède ROCHE (1836 – † entre 1911 et 1918) : cet acte nous apprend qu’elle est née en 1838 à Fort Royal (Martinique). Elle est receveuse de la Poste, c’est à dire directrice. Seul le prénom de sa mère, Pauline, est mentionné.
Nous avons vu que l’amitié indéfectible d’Émile et d’Adrien s’est nouée au cours de leur interminable séjour forcé au camp de Stuttgart ; mais qu’en est-il de celle tout aussi infrangible de Maman Cocard et Victorine ? Les parcours des deux filles avaient été tristement semblables : Marie Catherine, fille d’un journalier, avait dû quitter son Morvan pour se placer domestique à Paris et Victorine avait sans aucun doute suivi le même sort puisque, à quinze ans, elle ne figure déjà plus dans le recensement de sa famille en 1906 à Trélivan (22). Le lieu de leur rencontre restera inconnu, mais l’ancrage amical se fit à Créteil.
Mon énième réveil intempestif d’une de mes banales nuits de dys-somniaque me laissa en tête à tête avec une vieille dame de mon enfance. Étonnamment, rien dans les péripéties de ma journée n’expliquait la réapparition nocturne de « Maman Cocard » dans ma mémoire, d’autant que notre dernière rencontre remontait au milieu des années cinquante et que je n’étais alors qu’un minot. À vrai dire cette résurgence ex nihilo était la bienvenue car elle me permit de meubler les pauses insomniaques qui encombrèrent encore ma fin de nuit : je pus ainsi rassembler tous mes souvenirs à son propos.
Malgré la guerre, les jeunes voulaient s’amuser et danser, mais les autorités de Vichy veillaient ! Trégourez. Mardi 24 février 1942. Bien qu’il ne soit que cinq heures de l’après-midi, il fait déjà nuit. Au dehors, la neige tombe en abondance mais, dans le restaurant de Mme Le Berre, la température est tropicale. Les visages des soixante convives sont rubiconds et beaucoup éprouvent quelques difficultés à entonner les airs à la mode. Auraient-ils trop arrosé tous les mets servis à l’occasion des noces de Gabriel Donnart et Catherine Paugam ?
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